De l'artisanat à l'art du verre à Biot L'histoire de la verrerie de Biot commence comme un conte de fées : à l'origine du verre bullé, spécificité du site, une histoire d'amour, celle d'Eloi Monod, un céramiste tombé amoureux de la fille d'un potier à Biot. Préférant travailler le verre à la terre, il transposa le registre formel de la poterie dans la transparence du verre et y injecta des myriades de petites bulles. Son verre bullé est l'art de contrôler ce qui s'avère être originairement un défaut d'affinage dans la conception de la pièce. Aujourd'hui, les verriers de Biot utilisent une machine qui distille doucement du bicarbonate de soude afin de créer ces bulles recherchées et emprisonnées entre deux épaisseurs de verre. Le verre de Biot est donc épais et la matière dense, un paradoxe pour un matériau à l'origine si léger qu'il tend à l'immatérialité. Une multitude de manipulations créatives ont suivi celle du verre bullé : le verre est triplé voire quadruplé, contient des inclusions de feuilles d'or ou de peinture, se prête à des jeux formels et des aspects de surfaces des plus variés. C'est la tradition du bousillage qui permit ces champs libres à l'imagination des verriers. Il est en effet une tradition verrière qui révéla nombre de talents dont celui de Jean-Claude Novaro, et qui permet aux artisans d'utiliser le four à verre et le matériel de l'atelier à des fins personnelles pendant les temps de pause. Jean-Claude Novaro, fils spirituel d'Eloi Monod, a "bousillé" la majorité de ses pièces entre 1966 et 1977. Ses vases soufflés, emprisonnant souvent des feuilles d'or pour rehausser les couleurs, sont de véritables paysages abstraits dans lesquels l'oeil se perd dans les jeux de transparence de de profondeurs multiples. A côté des souffleurs, la galerie Novaro et l'éco-musée mettent en exergue des pièces ou le verre donne toute la mesure de ses possibilités sculpturales et picturales. texte: Marie M.

De l'artisanat à l'art du verre à Biot L'histoire de la verrerie de Biot commence comme un conte de fées : à l'origine du verre bullé, spécificité du site, une histoire d'amour, celle d'Eloi Monod, un céramiste tombé amoureux de la fille d'un potier à Biot. Préférant travailler le verre à la terre, il transposa le registre formel de la poterie dans la transparence du verre et y injecta des myriades de petites bulles. Son verre bullé est l'art de contrôler ce qui s'avère être originairement un défaut d'affinage dans la conception de la pièce. Aujourd'hui, les verriers de Biot utilisent une machine qui distille doucement du bicarbonate de soude afin de créer ces bulles recherchées et emprisonnées entre deux épaisseurs de verre. Le verre de Biot est donc épais et la matière dense, un paradoxe pour un matériau à l'origine si léger qu'il tend à l'immatérialité. Une multitude de manipulations créatives ont suivi celle du verre bullé : le verre est triplé voire quadruplé, contient des inclusions de feuilles d'or ou de peinture, se prête à des jeux formels et des aspects de surfaces des plus variés. C'est la tradition du bousillage qui permit ces champs libres à l'imagination des verriers. Il est en effet une tradition verrière qui révéla nombre de talents dont celui de Jean-Claude Novaro, et qui permet aux artisans d'utiliser le four à verre et le matériel de l'atelier à des fins personnelles pendant les temps de pause. Jean-Claude Novaro, fils spirituel d'Eloi Monod, a "bousillé" la majorité de ses pièces entre 1966 et 1977. Ses vases soufflés, emprisonnant souvent des feuilles d'or pour rehausser les couleurs, sont de véritables paysages abstraits dans lesquels l'oeil se perd dans les jeux de transparence de de profondeurs multiples. A côté des souffleurs, la galerie Novaro et l'éco-musée mettent en exergue des pièces ou le verre donne toute la mesure de ses possibilités sculpturales et picturales. texte: Marie M.

De l'artisanat à l'art du verre à Biot L'histoire de la verrerie de Biot commence comme un conte de fées : à l'origine du verre bullé, spécificité du site, une histoire d'amour, celle d'Eloi Monod, un céramiste tombé amoureux de la fille d'un potier à Biot. Préférant travailler le verre à la terre, il transposa le registre formel de la poterie dans la transparence du verre et y injecta des myriades de petites bulles. Son verre bullé est l'art de contrôler ce qui s'avère être originairement un défaut d'affinage dans la conception de la pièce. Aujourd'hui, les verriers de Biot utilisent une machine qui distille doucement du bicarbonate de soude afin de créer ces bulles recherchées et emprisonnées entre deux épaisseurs de verre. Le verre de Biot est donc épais et la matière dense, un paradoxe pour un matériau à l'origine si léger qu'il tend à l'immatérialité. Une multitude de manipulations créatives ont suivi celle du verre bullé : le verre est triplé voire quadruplé, contient des inclusions de feuilles d'or ou de peinture, se prête à des jeux formels et des aspects de surfaces des plus variés. C'est la tradition du bousillage qui permit ces champs libres à l'imagination des verriers. Il est en effet une tradition verrière qui révéla nombre de talents dont celui de Jean-Claude Novaro, et qui permet aux artisans d'utiliser le four à verre et le matériel de l'atelier à des fins personnelles pendant les temps de pause. Jean-Claude Novaro, fils spirituel d'Eloi Monod, a "bousillé" la majorité de ses pièces entre 1966 et 1977. Ses vases soufflés, emprisonnant souvent des feuilles d'or pour rehausser les couleurs, sont de véritables paysages abstraits dans lesquels l'oeil se perd dans les jeux de transparence de de profondeurs multiples. A côté des souffleurs, la galerie Novaro et l'éco-musée mettent en exergue des pièces ou le verre donne toute la mesure de ses possibilités sculpturales et picturales. texte: Marie M.

De l'artisanat à l'art du verre à Biot L'histoire de la verrerie de Biot commence comme un conte de fées : à l'origine du verre bullé, spécificité du site, une histoire d'amour, celle d'Eloi Monod, un céramiste tombé amoureux de la fille d'un potier à Biot. Préférant travailler le verre à la terre, il transposa le registre formel de la poterie dans la transparence du verre et y injecta des myriades de petites bulles. Son verre bullé est l'art de contrôler ce qui s'avère être originairement un défaut d'affinage dans la conception de la pièce. Aujourd'hui, les verriers de Biot utilisent une machine qui distille doucement du bicarbonate de soude afin de créer ces bulles recherchées et emprisonnées entre deux épaisseurs de verre. Le verre de Biot est donc épais et la matière dense, un paradoxe pour un matériau à l'origine si léger qu'il tend à l'immatérialité. Une multitude de manipulations créatives ont suivi celle du verre bullé : le verre est triplé voire quadruplé, contient des inclusions de feuilles d'or ou de peinture, se prête à des jeux formels et des aspects de surfaces des plus variés. C'est la tradition du bousillage qui permit ces champs libres à l'imagination des verriers. Il est en effet une tradition verrière qui révéla nombre de talents dont celui de Jean-Claude Novaro, et qui permet aux artisans d'utiliser le four à verre et le matériel de l'atelier à des fins personnelles pendant les temps de pause. Jean-Claude Novaro, fils spirituel d'Eloi Monod, a "bousillé" la majorité de ses pièces entre 1966 et 1977. Ses vases soufflés, emprisonnant souvent des feuilles d'or pour rehausser les couleurs, sont de véritables paysages abstraits dans lesquels l'oeil se perd dans les jeux de transparence de de profondeurs multiples. A côté des souffleurs, la galerie Novaro et l'éco-musée mettent en exergue des pièces ou le verre donne toute la mesure de ses possibilités sculpturales et picturales. texte: Marie M.

De l'artisanat à l'art du verre à Biot L'histoire de la verrerie de Biot commence comme un conte de fées : à l'origine du verre bullé, spécificité du site, une histoire d'amour, celle d'Eloi Monod, un céramiste tombé amoureux de la fille d'un potier à Biot. Préférant travailler le verre à la terre, il transposa le registre formel de la poterie dans la transparence du verre et y injecta des myriades de petites bulles. Son verre bullé est l'art de contrôler ce qui s'avère être originairement un défaut d'affinage dans la conception de la pièce. Aujourd'hui, les verriers de Biot utilisent une machine qui distille doucement du bicarbonate de soude afin de créer ces bulles recherchées et emprisonnées entre deux épaisseurs de verre. Le verre de Biot est donc épais et la matière dense, un paradoxe pour un matériau à l'origine si léger qu'il tend à l'immatérialité. Une multitude de manipulations créatives ont suivi celle du verre bullé : le verre est triplé voire quadruplé, contient des inclusions de feuilles d'or ou de peinture, se prête à des jeux formels et des aspects de surfaces des plus variés. C'est la tradition du bousillage qui permit ces champs libres à l'imagination des verriers. Il est en effet une tradition verrière qui révéla nombre de talents dont celui de Jean-Claude Novaro, et qui permet aux artisans d'utiliser le four à verre et le matériel de l'atelier à des fins personnelles pendant les temps de pause. Jean-Claude Novaro, fils spirituel d'Eloi Monod, a "bousillé" la majorité de ses pièces entre 1966 et 1977. Ses vases soufflés, emprisonnant souvent des feuilles d'or pour rehausser les couleurs, sont de véritables paysages abstraits dans lesquels l'oeil se perd dans les jeux de transparence de de profondeurs multiples. A côté des souffleurs, la galerie Novaro et l'éco-musée mettent en exergue des pièces ou le verre donne toute la mesure de ses possibilités sculpturales et picturales. texte: Marie M.

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