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  • Pier Paolo Calzolari 6563

    05/03/2010 58983 visites

    Rien de figé dans le travail de Calzolari. Tout l'oeuvre au contraire lutte contre l'inertie, se recrée sans cesse avec le passage du temps, dans la transformation des matériaux organiques (feuilles de tabac, oeuf, lait), dans une plante animée par un souffle mécanique, le rythme d'un métronome, la chaleur diffuse d'un néon ou la vapeur froide d'une structure givrante. Pier Paolo Calzolari s'engage dans l'Arte Povera en 1967, mouvement né à Gênes sous l'impulsion du critique d'art Germano Celant. Les artistes associés à l'Arte Povera privilégient l'usage de matériaux dits pauvres, qu'ils prélèvent dans leur environnement, mais pas exclusivement. Le travail de Calzolari témoigne en effet de la confrontation entre la nature, son rythme propre, et la culture industrielle. Une majeure partie de ses installations associe et confronte en effet des matériaux bruts tels que le coton, le bois, l'or ou le plomb avec des mécanismes simples, néon, moteur actionnant un mouvement ou produisant du froid. Une certaine solennité se dégage de ses installations : dans l'oeuvre Paravento, un panneau monumental en mosaïque de morceaux de bois calciné s'élève telle une stèle et dissimule un petit kenzia, dont les feuillages s'agitent, une Natura Morta présente un oeuf et du fil de coton sur un autel immaculé, une Rapsodie Inepte en feuilles de tabac de Virginie et néon dessine le signe de l'infini, mais inachevé. Le choix des matériaux participent ardemment à cette dialectique de la vie et de la mort, et à sa quête du sublime. Le sel, le plomb et l'or sont de ses matériaux propices à engendrer une alchimie, car Calzolari est un artiste de la transmutation. Même exempt du reflet de l'or ou de la lumière induite par la glace ou le néon, il sait élevé une installation brute vers la beauté. Un tableau de plomb, dont le temps érode lentement la surface se transforme un peu plus chaque seconde devant nous, par l'installation d'un simple métronome, perché sur deux pieds graciles, dont les batt

  • Pier Paolo Calzolari 6598

    05/03/2010 49304 visites

    Rien de figé dans le travail de Calzolari. Tout l'oeuvre au contraire lutte contre l'inertie, se recrée sans cesse avec le passage du temps, dans la transformation des matériaux organiques (feuilles de tabac, oeuf, lait), dans une plante animée par un souffle mécanique, le rythme d'un métronome, la chaleur diffuse d'un néon ou la vapeur froide d'une structure givrante. Pier Paolo Calzolari s'engage dans l'Arte Povera en 1967, mouvement né à Gênes sous l'impulsion du critique d'art Germano Celant. Les artistes associés à l'Arte Povera privilégient l'usage de matériaux dits pauvres, qu'ils prélèvent dans leur environnement, mais pas exclusivement. Le travail de Calzolari témoigne en effet de la confrontation entre la nature, son rythme propre, et la culture industrielle. Une majeure partie de ses installations associe et confronte en effet des matériaux bruts tels que le coton, le bois, l'or ou le plomb avec des mécanismes simples, néon, moteur actionnant un mouvement ou produisant du froid. Une certaine solennité se dégage de ses installations : dans l'oeuvre Paravento, un panneau monumental en mosaïque de morceaux de bois calciné s'élève telle une stèle et dissimule un petit kenzia, dont les feuillages s'agitent, une Natura Morta présente un oeuf et du fil de coton sur un autel immaculé, une Rapsodie Inepte en feuilles de tabac de Virginie et néon dessine le signe de l'infini, mais inachevé. Le choix des matériaux participent ardemment à cette dialectique de la vie et de la mort, et à sa quête du sublime. Le sel, le plomb et l'or sont de ses matériaux propices à engendrer une alchimie, car Calzolari est un artiste de la transmutation. Même exempt du reflet de l'or ou de la lumière induite par la glace ou le néon, il sait élevé une installation brute vers la beauté. Un tableau de plomb, dont le temps érode lentement la surface se transforme un peu plus chaque seconde devant nous, par l'installation d'un simple métronome, perché sur deux pieds graciles, dont les batt

  • Pier Paolo Calzolari 6596

    05/03/2010 48651 visites

    Rien de figé dans le travail de Calzolari. Tout l'oeuvre au contraire lutte contre l'inertie, se recrée sans cesse avec le passage du temps, dans la transformation des matériaux organiques (feuilles de tabac, oeuf, lait), dans une plante animée par un souffle mécanique, le rythme d'un métronome, la chaleur diffuse d'un néon ou la vapeur froide d'une structure givrante. Pier Paolo Calzolari s'engage dans l'Arte Povera en 1967, mouvement né à Gênes sous l'impulsion du critique d'art Germano Celant. Les artistes associés à l'Arte Povera privilégient l'usage de matériaux dits pauvres, qu'ils prélèvent dans leur environnement, mais pas exclusivement. Le travail de Calzolari témoigne en effet de la confrontation entre la nature, son rythme propre, et la culture industrielle. Une majeure partie de ses installations associe et confronte en effet des matériaux bruts tels que le coton, le bois, l'or ou le plomb avec des mécanismes simples, néon, moteur actionnant un mouvement ou produisant du froid. Une certaine solennité se dégage de ses installations : dans l'oeuvre Paravento, un panneau monumental en mosaïque de morceaux de bois calciné s'élève telle une stèle et dissimule un petit kenzia, dont les feuillages s'agitent, une Natura Morta présente un oeuf et du fil de coton sur un autel immaculé, une Rapsodie Inepte en feuilles de tabac de Virginie et néon dessine le signe de l'infini, mais inachevé. Le choix des matériaux participent ardemment à cette dialectique de la vie et de la mort, et à sa quête du sublime. Le sel, le plomb et l'or sont de ses matériaux propices à engendrer une alchimie, car Calzolari est un artiste de la transmutation. Même exempt du reflet de l'or ou de la lumière induite par la glace ou le néon, il sait élevé une installation brute vers la beauté. Un tableau de plomb, dont le temps érode lentement la surface se transforme un peu plus chaque seconde devant nous, par l'installation d'un simple métronome, perché sur deux pieds graciles, dont les batt

  • Pier Paolo Calzolari 6548

    05/03/2010 52656 visites

    Rien de figé dans le travail de Calzolari. Tout l'oeuvre au contraire lutte contre l'inertie, se recrée sans cesse avec le passage du temps, dans la transformation des matériaux organiques (feuilles de tabac, oeuf, lait), dans une plante animée par un souffle mécanique, le rythme d'un métronome, la chaleur diffuse d'un néon ou la vapeur froide d'une structure givrante. Pier Paolo Calzolari s'engage dans l'Arte Povera en 1967, mouvement né à Gênes sous l'impulsion du critique d'art Germano Celant. Les artistes associés à l'Arte Povera privilégient l'usage de matériaux dits pauvres, qu'ils prélèvent dans leur environnement, mais pas exclusivement. Le travail de Calzolari témoigne en effet de la confrontation entre la nature, son rythme propre, et la culture industrielle. Une majeure partie de ses installations associe et confronte en effet des matériaux bruts tels que le coton, le bois, l'or ou le plomb avec des mécanismes simples, néon, moteur actionnant un mouvement ou produisant du froid. Une certaine solennité se dégage de ses installations : dans l'oeuvre Paravento, un panneau monumental en mosaïque de morceaux de bois calciné s'élève telle une stèle et dissimule un petit kenzia, dont les feuillages s'agitent, une Natura Morta présente un oeuf et du fil de coton sur un autel immaculé, une Rapsodie Inepte en feuilles de tabac de Virginie et néon dessine le signe de l'infini, mais inachevé. Le choix des matériaux participent ardemment à cette dialectique de la vie et de la mort, et à sa quête du sublime. Le sel, le plomb et l'or sont de ses matériaux propices à engendrer une alchimie, car Calzolari est un artiste de la transmutation. Même exempt du reflet de l'or ou de la lumière induite par la glace ou le néon, il sait élevé une installation brute vers la beauté. Un tableau de plomb, dont le temps érode lentement la surface se transforme un peu plus chaque seconde devant nous, par l'installation d'un simple métronome, perché sur deux pieds graciles, dont les batt

  • Pier Paolo Calzolari 6597

    05/03/2010 52768 visites

    Rien de figé dans le travail de Calzolari. Tout l'oeuvre au contraire lutte contre l'inertie, se recrée sans cesse avec le passage du temps, dans la transformation des matériaux organiques (feuilles de tabac, oeuf, lait), dans une plante animée par un souffle mécanique, le rythme d'un métronome, la chaleur diffuse d'un néon ou la vapeur froide d'une structure givrante. Pier Paolo Calzolari s'engage dans l'Arte Povera en 1967, mouvement né à Gênes sous l'impulsion du critique d'art Germano Celant. Les artistes associés à l'Arte Povera privilégient l'usage de matériaux dits pauvres, qu'ils prélèvent dans leur environnement, mais pas exclusivement. Le travail de Calzolari témoigne en effet de la confrontation entre la nature, son rythme propre, et la culture industrielle. Une majeure partie de ses installations associe et confronte en effet des matériaux bruts tels que le coton, le bois, l'or ou le plomb avec des mécanismes simples, néon, moteur actionnant un mouvement ou produisant du froid. Une certaine solennité se dégage de ses installations : dans l'oeuvre Paravento, un panneau monumental en mosaïque de morceaux de bois calciné s'élève telle une stèle et dissimule un petit kenzia, dont les feuillages s'agitent, une Natura Morta présente un oeuf et du fil de coton sur un autel immaculé, une Rapsodie Inepte en feuilles de tabac de Virginie et néon dessine le signe de l'infini, mais inachevé. Le choix des matériaux participent ardemment à cette dialectique de la vie et de la mort, et à sa quête du sublime. Le sel, le plomb et l'or sont de ses matériaux propices à engendrer une alchimie, car Calzolari est un artiste de la transmutation. Même exempt du reflet de l'or ou de la lumière induite par la glace ou le néon, il sait élevé une installation brute vers la beauté. Un tableau de plomb, dont le temps érode lentement la surface se transforme un peu plus chaque seconde devant nous, par l'installation d'un simple métronome, perché sur deux pieds graciles, dont les batt

  • Pier Paolo Calzolari 6580

    05/03/2010 54470 visites

    Rien de figé dans le travail de Calzolari. Tout l'oeuvre au contraire lutte contre l'inertie, se recrée sans cesse avec le passage du temps, dans la transformation des matériaux organiques (feuilles de tabac, oeuf, lait), dans une plante animée par un souffle mécanique, le rythme d'un métronome, la chaleur diffuse d'un néon ou la vapeur froide d'une structure givrante. Pier Paolo Calzolari s'engage dans l'Arte Povera en 1967, mouvement né à Gênes sous l'impulsion du critique d'art Germano Celant. Les artistes associés à l'Arte Povera privilégient l'usage de matériaux dits pauvres, qu'ils prélèvent dans leur environnement, mais pas exclusivement. Le travail de Calzolari témoigne en effet de la confrontation entre la nature, son rythme propre, et la culture industrielle. Une majeure partie de ses installations associe et confronte en effet des matériaux bruts tels que le coton, le bois, l'or ou le plomb avec des mécanismes simples, néon, moteur actionnant un mouvement ou produisant du froid. Une certaine solennité se dégage de ses installations : dans l'oeuvre Paravento, un panneau monumental en mosaïque de morceaux de bois calciné s'élève telle une stèle et dissimule un petit kenzia, dont les feuillages s'agitent, une Natura Morta présente un oeuf et du fil de coton sur un autel immaculé, une Rapsodie Inepte en feuilles de tabac de Virginie et néon dessine le signe de l'infini, mais inachevé. Le choix des matériaux participent ardemment à cette dialectique de la vie et de la mort, et à sa quête du sublime. Le sel, le plomb et l'or sont de ses matériaux propices à engendrer une alchimie, car Calzolari est un artiste de la transmutation. Même exempt du reflet de l'or ou de la lumière induite par la glace ou le néon, il sait élevé une installation brute vers la beauté. Un tableau de plomb, dont le temps érode lentement la surface se transforme un peu plus chaque seconde devant nous, par l'installation d'un simple métronome, perché sur deux pieds graciles, dont les batt

  • Pier Paolo Calzolari 6545

    05/03/2010 50887 visites

    Rien de figé dans le travail de Calzolari. Tout l'oeuvre au contraire lutte contre l'inertie, se recrée sans cesse avec le passage du temps, dans la transformation des matériaux organiques (feuilles de tabac, oeuf, lait), dans une plante animée par un souffle mécanique, le rythme d'un métronome, la chaleur diffuse d'un néon ou la vapeur froide d'une structure givrante. Pier Paolo Calzolari s'engage dans l'Arte Povera en 1967, mouvement né à Gênes sous l'impulsion du critique d'art Germano Celant. Les artistes associés à l'Arte Povera privilégient l'usage de matériaux dits pauvres, qu'ils prélèvent dans leur environnement, mais pas exclusivement. Le travail de Calzolari témoigne en effet de la confrontation entre la nature, son rythme propre, et la culture industrielle. Une majeure partie de ses installations associe et confronte en effet des matériaux bruts tels que le coton, le bois, l'or ou le plomb avec des mécanismes simples, néon, moteur actionnant un mouvement ou produisant du froid. Une certaine solennité se dégage de ses installations : dans l'oeuvre Paravento, un panneau monumental en mosaïque de morceaux de bois calciné s'élève telle une stèle et dissimule un petit kenzia, dont les feuillages s'agitent, une Natura Morta présente un oeuf et du fil de coton sur un autel immaculé, une Rapsodie Inepte en feuilles de tabac de Virginie et néon dessine le signe de l'infini, mais inachevé. Le choix des matériaux participent ardemment à cette dialectique de la vie et de la mort, et à sa quête du sublime. Le sel, le plomb et l'or sont de ses matériaux propices à engendrer une alchimie, car Calzolari est un artiste de la transmutation. Même exempt du reflet de l'or ou de la lumière induite par la glace ou le néon, il sait élevé une installation brute vers la beauté. Un tableau de plomb, dont le temps érode lentement la surface se transforme un peu plus chaque seconde devant nous, par l'installation d'un simple métronome, perché sur deux pieds graciles, dont les batt

  • Pier Paolo Calzolari 6555

    05/03/2010 52573 visites

    Rien de figé dans le travail de Calzolari. Tout l'oeuvre au contraire lutte contre l'inertie, se recrée sans cesse avec le passage du temps, dans la transformation des matériaux organiques (feuilles de tabac, oeuf, lait), dans une plante animée par un souffle mécanique, le rythme d'un métronome, la chaleur diffuse d'un néon ou la vapeur froide d'une structure givrante. Pier Paolo Calzolari s'engage dans l'Arte Povera en 1967, mouvement né à Gênes sous l'impulsion du critique d'art Germano Celant. Les artistes associés à l'Arte Povera privilégient l'usage de matériaux dits pauvres, qu'ils prélèvent dans leur environnement, mais pas exclusivement. Le travail de Calzolari témoigne en effet de la confrontation entre la nature, son rythme propre, et la culture industrielle. Une majeure partie de ses installations associe et confronte en effet des matériaux bruts tels que le coton, le bois, l'or ou le plomb avec des mécanismes simples, néon, moteur actionnant un mouvement ou produisant du froid. Une certaine solennité se dégage de ses installations : dans l'oeuvre Paravento, un panneau monumental en mosaïque de morceaux de bois calciné s'élève telle une stèle et dissimule un petit kenzia, dont les feuillages s'agitent, une Natura Morta présente un oeuf et du fil de coton sur un autel immaculé, une Rapsodie Inepte en feuilles de tabac de Virginie et néon dessine le signe de l'infini, mais inachevé. Le choix des matériaux participent ardemment à cette dialectique de la vie et de la mort, et à sa quête du sublime. Le sel, le plomb et l'or sont de ses matériaux propices à engendrer une alchimie, car Calzolari est un artiste de la transmutation. Même exempt du reflet de l'or ou de la lumière induite par la glace ou le néon, il sait élevé une installation brute vers la beauté. Un tableau de plomb, dont le temps érode lentement la surface se transforme un peu plus chaque seconde devant nous, par l'installation d'un simple métronome, perché sur deux pieds graciles, dont les batt

  • Pier Paolo Calzolari 6578

    05/03/2010 54325 visites

    Rien de figé dans le travail de Calzolari. Tout l'oeuvre au contraire lutte contre l'inertie, se recrée sans cesse avec le passage du temps, dans la transformation des matériaux organiques (feuilles de tabac, oeuf, lait), dans une plante animée par un souffle mécanique, le rythme d'un métronome, la chaleur diffuse d'un néon ou la vapeur froide d'une structure givrante. Pier Paolo Calzolari s'engage dans l'Arte Povera en 1967, mouvement né à Gênes sous l'impulsion du critique d'art Germano Celant. Les artistes associés à l'Arte Povera privilégient l'usage de matériaux dits pauvres, qu'ils prélèvent dans leur environnement, mais pas exclusivement. Le travail de Calzolari témoigne en effet de la confrontation entre la nature, son rythme propre, et la culture industrielle. Une majeure partie de ses installations associe et confronte en effet des matériaux bruts tels que le coton, le bois, l'or ou le plomb avec des mécanismes simples, néon, moteur actionnant un mouvement ou produisant du froid. Une certaine solennité se dégage de ses installations : dans l'oeuvre Paravento, un panneau monumental en mosaïque de morceaux de bois calciné s'élève telle une stèle et dissimule un petit kenzia, dont les feuillages s'agitent, une Natura Morta présente un oeuf et du fil de coton sur un autel immaculé, une Rapsodie Inepte en feuilles de tabac de Virginie et néon dessine le signe de l'infini, mais inachevé. Le choix des matériaux participent ardemment à cette dialectique de la vie et de la mort, et à sa quête du sublime. Le sel, le plomb et l'or sont de ses matériaux propices à engendrer une alchimie, car Calzolari est un artiste de la transmutation. Même exempt du reflet de l'or ou de la lumière induite par la glace ou le néon, il sait élevé une installation brute vers la beauté. Un tableau de plomb, dont le temps érode lentement la surface se transforme un peu plus chaque seconde devant nous, par l'installation d'un simple métronome, perché sur deux pieds graciles, dont les batt

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