Les 120 images de la catégorie Reportages associées au tag art contemporain.

  • Pier Paolo Calzolari 6598

    05/03/2010 42263 visites

    Rien de figé dans le travail de Calzolari. Tout l'oeuvre au contraire lutte contre l'inertie, se recrée sans cesse avec le passage du temps, dans la transformation des matériaux organiques (feuilles de tabac, oeuf, lait), dans une plante animée par un souffle mécanique, le rythme d'un métronome, la chaleur diffuse d'un néon ou la vapeur froide d'une structure givrante. Pier Paolo Calzolari s'engage dans l'Arte Povera en 1967, mouvement né à Gênes sous l'impulsion du critique d'art Germano Celant. Les artistes associés à l'Arte Povera privilégient l'usage de matériaux dits pauvres, qu'ils prélèvent dans leur environnement, mais pas exclusivement. Le travail de Calzolari témoigne en effet de la confrontation entre la nature, son rythme propre, et la culture industrielle. Une majeure partie de ses installations associe et confronte en effet des matériaux bruts tels que le coton, le bois, l'or ou le plomb avec des mécanismes simples, néon, moteur actionnant un mouvement ou produisant du froid. Une certaine solennité se dégage de ses installations : dans l'oeuvre Paravento, un panneau monumental en mosaïque de morceaux de bois calciné s'élève telle une stèle et dissimule un petit kenzia, dont les feuillages s'agitent, une Natura Morta présente un oeuf et du fil de coton sur un autel immaculé, une Rapsodie Inepte en feuilles de tabac de Virginie et néon dessine le signe de l'infini, mais inachevé. Le choix des matériaux participent ardemment à cette dialectique de la vie et de la mort, et à sa quête du sublime. Le sel, le plomb et l'or sont de ses matériaux propices à engendrer une alchimie, car Calzolari est un artiste de la transmutation. Même exempt du reflet de l'or ou de la lumière induite par la glace ou le néon, il sait élevé une installation brute vers la beauté. Un tableau de plomb, dont le temps érode lentement la surface se transforme un peu plus chaque seconde devant nous, par l'installation d'un simple métronome, perché sur deux pieds graciles, dont les batt

  • Pier Paolo Calzolari 6596

    05/03/2010 41427 visites

    Rien de figé dans le travail de Calzolari. Tout l'oeuvre au contraire lutte contre l'inertie, se recrée sans cesse avec le passage du temps, dans la transformation des matériaux organiques (feuilles de tabac, oeuf, lait), dans une plante animée par un souffle mécanique, le rythme d'un métronome, la chaleur diffuse d'un néon ou la vapeur froide d'une structure givrante. Pier Paolo Calzolari s'engage dans l'Arte Povera en 1967, mouvement né à Gênes sous l'impulsion du critique d'art Germano Celant. Les artistes associés à l'Arte Povera privilégient l'usage de matériaux dits pauvres, qu'ils prélèvent dans leur environnement, mais pas exclusivement. Le travail de Calzolari témoigne en effet de la confrontation entre la nature, son rythme propre, et la culture industrielle. Une majeure partie de ses installations associe et confronte en effet des matériaux bruts tels que le coton, le bois, l'or ou le plomb avec des mécanismes simples, néon, moteur actionnant un mouvement ou produisant du froid. Une certaine solennité se dégage de ses installations : dans l'oeuvre Paravento, un panneau monumental en mosaïque de morceaux de bois calciné s'élève telle une stèle et dissimule un petit kenzia, dont les feuillages s'agitent, une Natura Morta présente un oeuf et du fil de coton sur un autel immaculé, une Rapsodie Inepte en feuilles de tabac de Virginie et néon dessine le signe de l'infini, mais inachevé. Le choix des matériaux participent ardemment à cette dialectique de la vie et de la mort, et à sa quête du sublime. Le sel, le plomb et l'or sont de ses matériaux propices à engendrer une alchimie, car Calzolari est un artiste de la transmutation. Même exempt du reflet de l'or ou de la lumière induite par la glace ou le néon, il sait élevé une installation brute vers la beauté. Un tableau de plomb, dont le temps érode lentement la surface se transforme un peu plus chaque seconde devant nous, par l'installation d'un simple métronome, perché sur deux pieds graciles, dont les batt

  • Pier Paolo Calzolari 6548

    05/03/2010 44967 visites

    Rien de figé dans le travail de Calzolari. Tout l'oeuvre au contraire lutte contre l'inertie, se recrée sans cesse avec le passage du temps, dans la transformation des matériaux organiques (feuilles de tabac, oeuf, lait), dans une plante animée par un souffle mécanique, le rythme d'un métronome, la chaleur diffuse d'un néon ou la vapeur froide d'une structure givrante. Pier Paolo Calzolari s'engage dans l'Arte Povera en 1967, mouvement né à Gênes sous l'impulsion du critique d'art Germano Celant. Les artistes associés à l'Arte Povera privilégient l'usage de matériaux dits pauvres, qu'ils prélèvent dans leur environnement, mais pas exclusivement. Le travail de Calzolari témoigne en effet de la confrontation entre la nature, son rythme propre, et la culture industrielle. Une majeure partie de ses installations associe et confronte en effet des matériaux bruts tels que le coton, le bois, l'or ou le plomb avec des mécanismes simples, néon, moteur actionnant un mouvement ou produisant du froid. Une certaine solennité se dégage de ses installations : dans l'oeuvre Paravento, un panneau monumental en mosaïque de morceaux de bois calciné s'élève telle une stèle et dissimule un petit kenzia, dont les feuillages s'agitent, une Natura Morta présente un oeuf et du fil de coton sur un autel immaculé, une Rapsodie Inepte en feuilles de tabac de Virginie et néon dessine le signe de l'infini, mais inachevé. Le choix des matériaux participent ardemment à cette dialectique de la vie et de la mort, et à sa quête du sublime. Le sel, le plomb et l'or sont de ses matériaux propices à engendrer une alchimie, car Calzolari est un artiste de la transmutation. Même exempt du reflet de l'or ou de la lumière induite par la glace ou le néon, il sait élevé une installation brute vers la beauté. Un tableau de plomb, dont le temps érode lentement la surface se transforme un peu plus chaque seconde devant nous, par l'installation d'un simple métronome, perché sur deux pieds graciles, dont les batt

  • Pier Paolo Calzolari 6597

    05/03/2010 44668 visites

    Rien de figé dans le travail de Calzolari. Tout l'oeuvre au contraire lutte contre l'inertie, se recrée sans cesse avec le passage du temps, dans la transformation des matériaux organiques (feuilles de tabac, oeuf, lait), dans une plante animée par un souffle mécanique, le rythme d'un métronome, la chaleur diffuse d'un néon ou la vapeur froide d'une structure givrante. Pier Paolo Calzolari s'engage dans l'Arte Povera en 1967, mouvement né à Gênes sous l'impulsion du critique d'art Germano Celant. Les artistes associés à l'Arte Povera privilégient l'usage de matériaux dits pauvres, qu'ils prélèvent dans leur environnement, mais pas exclusivement. Le travail de Calzolari témoigne en effet de la confrontation entre la nature, son rythme propre, et la culture industrielle. Une majeure partie de ses installations associe et confronte en effet des matériaux bruts tels que le coton, le bois, l'or ou le plomb avec des mécanismes simples, néon, moteur actionnant un mouvement ou produisant du froid. Une certaine solennité se dégage de ses installations : dans l'oeuvre Paravento, un panneau monumental en mosaïque de morceaux de bois calciné s'élève telle une stèle et dissimule un petit kenzia, dont les feuillages s'agitent, une Natura Morta présente un oeuf et du fil de coton sur un autel immaculé, une Rapsodie Inepte en feuilles de tabac de Virginie et néon dessine le signe de l'infini, mais inachevé. Le choix des matériaux participent ardemment à cette dialectique de la vie et de la mort, et à sa quête du sublime. Le sel, le plomb et l'or sont de ses matériaux propices à engendrer une alchimie, car Calzolari est un artiste de la transmutation. Même exempt du reflet de l'or ou de la lumière induite par la glace ou le néon, il sait élevé une installation brute vers la beauté. Un tableau de plomb, dont le temps érode lentement la surface se transforme un peu plus chaque seconde devant nous, par l'installation d'un simple métronome, perché sur deux pieds graciles, dont les batt

  • Pier Paolo Calzolari 6580

    05/03/2010 47023 visites

    Rien de figé dans le travail de Calzolari. Tout l'oeuvre au contraire lutte contre l'inertie, se recrée sans cesse avec le passage du temps, dans la transformation des matériaux organiques (feuilles de tabac, oeuf, lait), dans une plante animée par un souffle mécanique, le rythme d'un métronome, la chaleur diffuse d'un néon ou la vapeur froide d'une structure givrante. Pier Paolo Calzolari s'engage dans l'Arte Povera en 1967, mouvement né à Gênes sous l'impulsion du critique d'art Germano Celant. Les artistes associés à l'Arte Povera privilégient l'usage de matériaux dits pauvres, qu'ils prélèvent dans leur environnement, mais pas exclusivement. Le travail de Calzolari témoigne en effet de la confrontation entre la nature, son rythme propre, et la culture industrielle. Une majeure partie de ses installations associe et confronte en effet des matériaux bruts tels que le coton, le bois, l'or ou le plomb avec des mécanismes simples, néon, moteur actionnant un mouvement ou produisant du froid. Une certaine solennité se dégage de ses installations : dans l'oeuvre Paravento, un panneau monumental en mosaïque de morceaux de bois calciné s'élève telle une stèle et dissimule un petit kenzia, dont les feuillages s'agitent, une Natura Morta présente un oeuf et du fil de coton sur un autel immaculé, une Rapsodie Inepte en feuilles de tabac de Virginie et néon dessine le signe de l'infini, mais inachevé. Le choix des matériaux participent ardemment à cette dialectique de la vie et de la mort, et à sa quête du sublime. Le sel, le plomb et l'or sont de ses matériaux propices à engendrer une alchimie, car Calzolari est un artiste de la transmutation. Même exempt du reflet de l'or ou de la lumière induite par la glace ou le néon, il sait élevé une installation brute vers la beauté. Un tableau de plomb, dont le temps érode lentement la surface se transforme un peu plus chaque seconde devant nous, par l'installation d'un simple métronome, perché sur deux pieds graciles, dont les batt

  • Pier Paolo Calzolari 6545

    05/03/2010 43429 visites

    Rien de figé dans le travail de Calzolari. Tout l'oeuvre au contraire lutte contre l'inertie, se recrée sans cesse avec le passage du temps, dans la transformation des matériaux organiques (feuilles de tabac, oeuf, lait), dans une plante animée par un souffle mécanique, le rythme d'un métronome, la chaleur diffuse d'un néon ou la vapeur froide d'une structure givrante. Pier Paolo Calzolari s'engage dans l'Arte Povera en 1967, mouvement né à Gênes sous l'impulsion du critique d'art Germano Celant. Les artistes associés à l'Arte Povera privilégient l'usage de matériaux dits pauvres, qu'ils prélèvent dans leur environnement, mais pas exclusivement. Le travail de Calzolari témoigne en effet de la confrontation entre la nature, son rythme propre, et la culture industrielle. Une majeure partie de ses installations associe et confronte en effet des matériaux bruts tels que le coton, le bois, l'or ou le plomb avec des mécanismes simples, néon, moteur actionnant un mouvement ou produisant du froid. Une certaine solennité se dégage de ses installations : dans l'oeuvre Paravento, un panneau monumental en mosaïque de morceaux de bois calciné s'élève telle une stèle et dissimule un petit kenzia, dont les feuillages s'agitent, une Natura Morta présente un oeuf et du fil de coton sur un autel immaculé, une Rapsodie Inepte en feuilles de tabac de Virginie et néon dessine le signe de l'infini, mais inachevé. Le choix des matériaux participent ardemment à cette dialectique de la vie et de la mort, et à sa quête du sublime. Le sel, le plomb et l'or sont de ses matériaux propices à engendrer une alchimie, car Calzolari est un artiste de la transmutation. Même exempt du reflet de l'or ou de la lumière induite par la glace ou le néon, il sait élevé une installation brute vers la beauté. Un tableau de plomb, dont le temps érode lentement la surface se transforme un peu plus chaque seconde devant nous, par l'installation d'un simple métronome, perché sur deux pieds graciles, dont les batt

  • Pier Paolo Calzolari 6555

    05/03/2010 45226 visites

    Rien de figé dans le travail de Calzolari. Tout l'oeuvre au contraire lutte contre l'inertie, se recrée sans cesse avec le passage du temps, dans la transformation des matériaux organiques (feuilles de tabac, oeuf, lait), dans une plante animée par un souffle mécanique, le rythme d'un métronome, la chaleur diffuse d'un néon ou la vapeur froide d'une structure givrante. Pier Paolo Calzolari s'engage dans l'Arte Povera en 1967, mouvement né à Gênes sous l'impulsion du critique d'art Germano Celant. Les artistes associés à l'Arte Povera privilégient l'usage de matériaux dits pauvres, qu'ils prélèvent dans leur environnement, mais pas exclusivement. Le travail de Calzolari témoigne en effet de la confrontation entre la nature, son rythme propre, et la culture industrielle. Une majeure partie de ses installations associe et confronte en effet des matériaux bruts tels que le coton, le bois, l'or ou le plomb avec des mécanismes simples, néon, moteur actionnant un mouvement ou produisant du froid. Une certaine solennité se dégage de ses installations : dans l'oeuvre Paravento, un panneau monumental en mosaïque de morceaux de bois calciné s'élève telle une stèle et dissimule un petit kenzia, dont les feuillages s'agitent, une Natura Morta présente un oeuf et du fil de coton sur un autel immaculé, une Rapsodie Inepte en feuilles de tabac de Virginie et néon dessine le signe de l'infini, mais inachevé. Le choix des matériaux participent ardemment à cette dialectique de la vie et de la mort, et à sa quête du sublime. Le sel, le plomb et l'or sont de ses matériaux propices à engendrer une alchimie, car Calzolari est un artiste de la transmutation. Même exempt du reflet de l'or ou de la lumière induite par la glace ou le néon, il sait élevé une installation brute vers la beauté. Un tableau de plomb, dont le temps érode lentement la surface se transforme un peu plus chaque seconde devant nous, par l'installation d'un simple métronome, perché sur deux pieds graciles, dont les batt

  • Pier Paolo Calzolari 6578

    05/03/2010 47821 visites

    Rien de figé dans le travail de Calzolari. Tout l'oeuvre au contraire lutte contre l'inertie, se recrée sans cesse avec le passage du temps, dans la transformation des matériaux organiques (feuilles de tabac, oeuf, lait), dans une plante animée par un souffle mécanique, le rythme d'un métronome, la chaleur diffuse d'un néon ou la vapeur froide d'une structure givrante. Pier Paolo Calzolari s'engage dans l'Arte Povera en 1967, mouvement né à Gênes sous l'impulsion du critique d'art Germano Celant. Les artistes associés à l'Arte Povera privilégient l'usage de matériaux dits pauvres, qu'ils prélèvent dans leur environnement, mais pas exclusivement. Le travail de Calzolari témoigne en effet de la confrontation entre la nature, son rythme propre, et la culture industrielle. Une majeure partie de ses installations associe et confronte en effet des matériaux bruts tels que le coton, le bois, l'or ou le plomb avec des mécanismes simples, néon, moteur actionnant un mouvement ou produisant du froid. Une certaine solennité se dégage de ses installations : dans l'oeuvre Paravento, un panneau monumental en mosaïque de morceaux de bois calciné s'élève telle une stèle et dissimule un petit kenzia, dont les feuillages s'agitent, une Natura Morta présente un oeuf et du fil de coton sur un autel immaculé, une Rapsodie Inepte en feuilles de tabac de Virginie et néon dessine le signe de l'infini, mais inachevé. Le choix des matériaux participent ardemment à cette dialectique de la vie et de la mort, et à sa quête du sublime. Le sel, le plomb et l'or sont de ses matériaux propices à engendrer une alchimie, car Calzolari est un artiste de la transmutation. Même exempt du reflet de l'or ou de la lumière induite par la glace ou le néon, il sait élevé une installation brute vers la beauté. Un tableau de plomb, dont le temps érode lentement la surface se transforme un peu plus chaque seconde devant nous, par l'installation d'un simple métronome, perché sur deux pieds graciles, dont les batt

  • Biennale de Venise 2009 1047

    17/02/2010 100314 visites

    Venise, sa lagune, ses canaux, ses touristes, sa Biennale. Cette année, c'est sous le thème xab Construire des mondes xbb, (trop ?) vaste sujet, que le commissaire général de la Biennale, Daniel Birnbaum, a placé l'événement-monstre. Plus de 90 artistes, des centaines d'oeuvres, quelques 100 000 m2 d'expo dans les deux principaux lieux de la Biennale, l'Arsenale et les Giardini, sans compter les multiples églises et palais investis par les artistes. Un résultat forcément inégal, mais d'où émergent quelques oeuvres incontournables. 53e Biennale de Venise. Fare Mundi // Making Worlds, Giardini, Arsenale et autres lieux de Venise, du 7 juin au 22 novembre 2009. source: fluctuat.net Aperçu de la Biennale et de sa périphérie en 99 images.


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