Sans titre 2012, tirage Duratrans sur caisson lumineux, 40x60cm.
La nuit, les fleurs dansent...
Hervé All attend le moment aveugle pour courir les jardins et les bois. Armé du lampe bidouillée et de son appareil photographique, il part surprendre les plantes dans leur transe invisible.
Elles campent dans la nuit, grasses, fortes et belles, explosant de couleurs inimaginables et de promesses de parfums chargés. Elles n'ont rien cependant de ces fleurs dont la vocation est d'embellir nos vies par la constitution de quelques bouquets éphémères.
En pleine nuit et en pleine nature, elles semblent artificielles... pour séduire mieux encore ?
Leur beauté bizarre dirait Baudelaire, hors du commun, est plus que jamais métaphore du désir d'aimer.
Leur présence trouble aux incroyables propriétés métamorphiques, est un véhicule de l'inquiétant, une porte ouverte sur le rêve.
Céline Moine
"Croit-on que certaines fleurs au parfum vertigineux soient bonnes à respirer ? Le poison qu'elles apportent n'éloigne pas d'elles; il monte à la tête, il grise les nerfs, il donne le trouble, le vertige, et il peut tuer aussi." Réquisitoire d'Ernest Pinard, procureur de la République, 21 août 1857, contre Charles Baudelaire, accusé d'offense à la morale religieuse, à la morale publique et aux bonnes moeurs.
CANNA INDICA, 2009, 40x30cm.
La nuit, les fleurs dansent...
Hervé All attend le moment aveugle pour courir les jardins et les bois. Armé du lampe bidouillée et de son appareil photographique, il part surprendre les plantes dans leur transe invisible.
Elles campent dans la nuit, grasses, fortes et belles, explosant de couleurs inimaginables et de promesses de parfums chargés. Elles n'ont rien cependant de ces fleurs dont la vocation est d'embellir nos vies par la constitution de quelques bouquets éphémères.
En pleine nuit et en pleine nature, elles semblent artificielles... pour séduire mieux encore ?
Leur beauté bizarre dirait Baudelaire, hors du commun, est plus que jamais métaphore du désir d'aimer.
Leur présence trouble aux incroyables propriétés métamorphiques, est un véhicule de l'inquiétant, une porte ouverte sur le rêve.
Céline Moine
"Croit-on que certaines fleurs au parfum vertigineux soient bonnes à respirer ? Le poison qu'elles apportent n'éloigne pas d'elles; il monte à la tête, il grise les nerfs, il donne le trouble, le vertige, et il peut tuer aussi." Réquisitoire d'Ernest Pinard, procureur de la République, 21 août 1857, contre Charles Baudelaire, accusé d'offense à la morale religieuse, à la morale publique et aux bonnes moeurs.
AZALEA JAPONICA, 2010, caisson lumineux 160x120cm.
La nuit, les fleurs dansent...
Hervé All attend le moment aveugle pour courir les jardins et les bois. Armé du lampe bidouillée et de son appareil photographique, il part surprendre les plantes dans leur transe invisible.
Elles campent dans la nuit, grasses, fortes et belles, explosant de couleurs inimaginables et de promesses de parfums chargés. Elles n'ont rien cependant de ces fleurs dont la vocation est d'embellir nos vies par la constitution de quelques bouquets éphémères.
En pleine nuit et en pleine nature, elles semblent artificielles... pour séduire mieux encore ?
Leur beauté bizarre dirait Baudelaire, hors du commun, est plus que jamais métaphore du désir d'aimer.
Leur présence trouble aux incroyables propriétés métamorphiques, est un véhicule de l'inquiétant, une porte ouverte sur le rêve.
Céline Moine
"Croit-on que certaines fleurs au parfum vertigineux soient bonnes à respirer ? Le poison qu'elles apportent n'éloigne pas d'elles; il monte à la tête, il grise les nerfs, il donne le trouble, le vertige, et il peut tuer aussi." Réquisitoire d'Ernest Pinard, procureur de la République, 21 août 1857, contre Charles Baudelaire, accusé d'offense à la morale religieuse, à la morale publique et aux bonnes moeurs.
Pteridum Aquilinum 2010, tirage lambda, 30x40cm.
La nuit, les fleurs dansent...
Hervé All attend le moment aveugle pour courir les jardins et les bois. Armé du lampe bidouillée et de son appareil photographique, il part surprendre les plantes dans leur transe invisible.
Elles campent dans la nuit, grasses, fortes et belles, explosant de couleurs inimaginables et de promesses de parfums chargés. Elles n'ont rien cependant de ces fleurs dont la vocation est d'embellir nos vies par la constitution de quelques bouquets éphémères.
En pleine nuit et en pleine nature, elles semblent artificielles... pour séduire mieux encore ?
Leur beauté bizarre dirait Baudelaire, hors du commun, est plus que jamais métaphore du désir d'aimer.
Leur présence trouble aux incroyables propriétés métamorphiques, est un véhicule de l'inquiétant, une porte ouverte sur le rêve.
Céline Moine
"Croit-on que certaines fleurs au parfum vertigineux soient bonnes à respirer ? Le poison qu'elles apportent n'éloigne pas d'elles; il monte à la tête, il grise les nerfs, il donne le trouble, le vertige, et il peut tuer aussi." Réquisitoire d'Ernest Pinard, procureur de la République, 21 août 1857, contre Charles Baudelaire, accusé d'offense à la morale religieuse, à la morale publique et aux bonnes moeurs.
Aquilegia 2010, tirage lambda, 30x40cm.
La nuit, les fleurs dansent...
Hervé All attend le moment aveugle pour courir les jardins et les bois. Armé du lampe bidouillée et de son appareil photographique, il part surprendre les plantes dans leur transe invisible.
Elles campent dans la nuit, grasses, fortes et belles, explosant de couleurs inimaginables et de promesses de parfums chargés. Elles n'ont rien cependant de ces fleurs dont la vocation est d'embellir nos vies par la constitution de quelques bouquets éphémères.
En pleine nuit et en pleine nature, elles semblent artificielles... pour séduire mieux encore ?
Leur beauté bizarre dirait Baudelaire, hors du commun, est plus que jamais métaphore du désir d'aimer.
Leur présence trouble aux incroyables propriétés métamorphiques, est un véhicule de l'inquiétant, une porte ouverte sur le rêve.
Céline Moine
"Croit-on que certaines fleurs au parfum vertigineux soient bonnes à respirer ? Le poison qu'elles apportent n'éloigne pas d'elles; il monte à la tête, il grise les nerfs, il donne le trouble, le vertige, et il peut tuer aussi." Réquisitoire d'Ernest Pinard, procureur de la République, 21 août 1857, contre Charles Baudelaire, accusé d'offense à la morale religieuse, à la morale publique et aux bonnes moeurs.
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