En 2009 Les Rencontres d' Arles souflent leur 40 bougies. Les Rencontres d'Arles (anciennement nomm�es Rencontres internationales de la photographie d'Arles) est un festival photographique estival annuel fond� en 1970 par le photographe arl�sien Lucien Clergue, l'�crivain Michel Tournier et l'historien Jean-Maurice Rouquette. A titre d'exemple le festival a accueilli 52 000 spectateurs en 2006 dont 20 % d'�trangers, et comme la photographie n'existe pas sans spectateurs il m'a paru normal de leur rendre hommage, cette s�rie est pour eux.
En 2009 Les Rencontres d' Arles souflent leur 40 bougies. Les Rencontres d'Arles (anciennement nomm�es Rencontres internationales de la photographie d'Arles) est un festival photographique estival annuel fond� en 1970 par le photographe arl�sien Lucien Clergue, l'�crivain Michel Tournier et l'historien Jean-Maurice Rouquette. A titre d'exemple le festival a accueilli 52 000 spectateurs en 2006 dont 20 % d'�trangers, et comme la photographie n'existe pas sans spectateurs il m'a paru normal de leur rendre hommage, cette s�rie est pour eux.
En 2009 Les Rencontres d' Arles souflent leur 40 bougies. Les Rencontres d'Arles (anciennement nomm�es Rencontres internationales de la photographie d'Arles) est un festival photographique estival annuel fond� en 1970 par le photographe arl�sien Lucien Clergue, l'�crivain Michel Tournier et l'historien Jean-Maurice Rouquette. A titre d'exemple le festival a accueilli 52 000 spectateurs en 2006 dont 20 % d'�trangers, et comme la photographie n'existe pas sans spectateurs il m'a paru normal de leur rendre hommage, cette s�rie est pour eux.
En 2009 Les Rencontres d' Arles souflent leur 40 bougies. Les Rencontres d'Arles (anciennement nomm�es Rencontres internationales de la photographie d'Arles) est un festival photographique estival annuel fond� en 1970 par le photographe arl�sien Lucien Clergue, l'�crivain Michel Tournier et l'historien Jean-Maurice Rouquette. A titre d'exemple le festival a accueilli 52 000 spectateurs en 2006 dont 20 % d'�trangers, et comme la photographie n'existe pas sans spectateurs il m'a paru normal de leur rendre hommage, cette s�rie est pour eux.
En 2009 Les Rencontres d' Arles souflent leur 40 bougies. Les Rencontres d'Arles (anciennement nomm�es Rencontres internationales de la photographie d'Arles) est un festival photographique estival annuel fond� en 1970 par le photographe arl�sien Lucien Clergue, l'�crivain Michel Tournier et l'historien Jean-Maurice Rouquette. A titre d'exemple le festival a accueilli 52 000 spectateurs en 2006 dont 20 % d'�trangers, et comme la photographie n'existe pas sans spectateurs il m'a paru normal de leur rendre hommage, cette s�rie est pour eux.
Les Rencontres Trans Musicales souvent surnommés Trans naquirent en 1979 à l'initiative de l'Association Rennaise "Terrapin" nommé ainsi en référence au morceau Terrapin Station du groupe Grateful Dead[2], constituée de Béatrice Macé, Jean-Louis Brossard, Hervé Bordier (qui part en 1996), Jean-René Courtès (jusqu'en 1985) et d'autres étudiants Rennais passionnés de musique. La première édition se déroule au mois de juin dans la salle de la Cité, ce n'est qu'à partir de la seconde édition qu'elles se déroulent au début du mois de décembre[2].
Depuis son origine, Jean-Louis Brossard, pour la partie artistique, et Béatrice Macé, pour tout ce qui concerne la production, co-dirigent les Rencontres Trans Musicales de Rennes.
Connues pour leur programmation musicale radicalement axée sur la découverte, les Trans, sont dorénavant internationalement reconnues par la presse[réf. nécessaire]. Les révélations du festival devenant régulièrement les têtes d'affiches du lendemain. C'est à Rennes qu'ont joué pour la première fois en France Björk, Ben Harper, Nirvana, Lenny Kravitz, et que se sont révélés au public Etienne Daho, Arno, Stephan Eicher, Les Négresses Vertes, Bérurier Noir, Denez Prigent, Daft Punk, Amadou & Mariam entre autres artistes .
Couverture du suppément Telerama Sortir, décembre 2009.
More than at any other time in her adult life, Nneka has reason to give people the benefit of the doubt. Born and raised in Nigeria, she moved to Hamburg, Germany, where her biological mother lives, at the age of 18 to seek a degree in anthropology. While studying humanity, she was occasionally on the receiving end of a bitter dose of it, and struggled with her bi-racial identity as a light-skinned African woman.
"Germany taught me a lot about myself in the sense of coming all the way from Africa and then being there in Germany all by myself," she says. "Life was not a bed of roses."
Création site par Webfolio, création sites internet à Lyon