Bienvenue "dans Cannes", le microcosme du cinéma international vivant replié sur lui-même pendant les onze jours du Festival. Les flashes et les paillettes donnent à la Croisette des allures de Sunset Boulevard. Mais Cannes reste tourné vers un cinéma d’auteur et contestataire du monde, en voulant éviter le mainstream, la pensée unique américaine. Ce reportage composite sous forme de diptyques illustre la quinzaine cannoise côté médias. Boutiques de luxe, limousines, starlettes ou inconnus, mannequins vivants se pavanant sur la Croisette, le chic s’approprie la ville. Pendant le Festival, tout et tous à l’extérieur du Palais vouent un culte à l’apparence. Pourtant, sous les palmiers, certains tentent de faire passer un message au monde entier, alors que d’autres se parent d’un masque pour appartenir à un autre monde. Pendant que les accrédités (journalistes, photographes, acteurs et réalisateurs) sont présents pour promouvoir les films, les saisonniers du ciné, sont là pour faire leur beurre. Photographes-filmeurs, ils transforment l’anonyme en star ; de jour comme de nuit, les flashes crépitent aux moments-clés. Dès le clap final du Festival, ces "flash-men" repartiront d’oû ils viennent, des quatre coins de la France. Le Festival, c’est aussi et surtout un événement mondial hyper-médiatisé. Comme dans une guerre moderne, les médias ont cerclé le périmètre et pris d’assaut le bitume cannois. Texte: Hervé All
Bienvenue "dans Cannes", le microcosme du cinéma international vivant replié sur lui-même pendant les onze jours du Festival. Les flashes et les paillettes donnent à la Croisette des allures de Sunset Boulevard. Mais Cannes reste tourné vers un cinéma d’auteur et contestataire du monde, en voulant éviter le mainstream, la pensée unique américaine. Ce reportage composite sous forme de diptyques illustre la quinzaine cannoise côté médias. Boutiques de luxe, limousines, starlettes ou inconnus, mannequins vivants se pavanant sur la Croisette, le chic s’approprie la ville. Pendant le Festival, tout et tous à l’extérieur du Palais vouent un culte à l’apparence. Pourtant, sous les palmiers, certains tentent de faire passer un message au monde entier, alors que d’autres se parent d’un masque pour appartenir à un autre monde. Pendant que les accrédités (journalistes, photographes, acteurs et réalisateurs) sont présents pour promouvoir les films, les saisonniers du ciné, sont là pour faire leur beurre. Photographes-filmeurs, ils transforment l’anonyme en star ; de jour comme de nuit, les flashes crépitent aux moments-clés. Dès le clap final du Festival, ces "flash-men" repartiront d’oû ils viennent, des quatre coins de la France. Le Festival, c’est aussi et surtout un événement mondial hyper-médiatisé. Comme dans une guerre moderne, les médias ont cerclé le périmètre et pris d’assaut le bitume cannois. Texte: Hervé All
Bienvenue "dans Cannes", le microcosme du cinéma international vivant replié sur lui-même pendant les onze jours du Festival. Les flashes et les paillettes donnent à la Croisette des allures de Sunset Boulevard. Mais Cannes reste tourné vers un cinéma d’auteur et contestataire du monde, en voulant éviter le mainstream, la pensée unique américaine. Ce reportage composite sous forme de diptyques illustre la quinzaine cannoise côté médias. Boutiques de luxe, limousines, starlettes ou inconnus, mannequins vivants se pavanant sur la Croisette, le chic s’approprie la ville. Pendant le Festival, tout et tous à l’extérieur du Palais vouent un culte à l’apparence. Pourtant, sous les palmiers, certains tentent de faire passer un message au monde entier, alors que d’autres se parent d’un masque pour appartenir à un autre monde. Pendant que les accrédités (journalistes, photographes, acteurs et réalisateurs) sont présents pour promouvoir les films, les saisonniers du ciné, sont là pour faire leur beurre. Photographes-filmeurs, ils transforment l’anonyme en star ; de jour comme de nuit, les flashes crépitent aux moments-clés. Dès le clap final du Festival, ces "flash-men" repartiront d’oû ils viennent, des quatre coins de la France. Le Festival, c’est aussi et surtout un événement mondial hyper-médiatisé. Comme dans une guerre moderne, les médias ont cerclé le périmètre et pris d’assaut le bitume cannois. Texte: Hervé All
Bienvenue "dans Cannes", le microcosme du cinéma international vivant replié sur lui-même pendant les onze jours du Festival. Les flashes et les paillettes donnent à la Croisette des allures de Sunset Boulevard. Mais Cannes reste tourné vers un cinéma d’auteur et contestataire du monde, en voulant éviter le mainstream, la pensée unique américaine. Ce reportage composite sous forme de diptyques illustre la quinzaine cannoise côté médias. Boutiques de luxe, limousines, starlettes ou inconnus, mannequins vivants se pavanant sur la Croisette, le chic s’approprie la ville. Pendant le Festival, tout et tous à l’extérieur du Palais vouent un culte à l’apparence. Pourtant, sous les palmiers, certains tentent de faire passer un message au monde entier, alors que d’autres se parent d’un masque pour appartenir à un autre monde. Pendant que les accrédités (journalistes, photographes, acteurs et réalisateurs) sont présents pour promouvoir les films, les saisonniers du ciné, sont là pour faire leur beurre. Photographes-filmeurs, ils transforment l’anonyme en star ; de jour comme de nuit, les flashes crépitent aux moments-clés. Dès le clap final du Festival, ces "flash-men" repartiront d’oû ils viennent, des quatre coins de la France. Le Festival, c’est aussi et surtout un événement mondial hyper-médiatisé. Comme dans une guerre moderne, les médias ont cerclé le périmètre et pris d’assaut le bitume cannois. Texte: Hervé All
Slick, la foire de découvertes en art contemporain, a eu lieu du 23 au 26 octobre à Paris, lors de la Fiac, au CENTQUATRE, le nouvel établissement artistique de la Ville de Paris. On dit que Slick est le " Off " le plus " In " de Paris. Pour sa quatrième édition, Slick grandit ! Slick se déploie sur 4000 m2, pour le confort de 61 galeries françaises et internationales (58 en 2008), des artistes et des visiteurs. L’événementiel investit la halle et les salles de projection pour une scène vouée aux arts vivants et aux pratiques immatérielles. En 2009, Slick met les petits plats dans les grands, en ouvrant ses portes, à l’art culinaire : pièce gourmande monumentale, Slick Dessert et d’autres surprises. Slick donne la parole aux galeristes avec son magazine Slicker. Slick s’affirme comme le tremplin artisique audacieux, comme la scène émergente ouverte à toutes les disciplines artistiques du monde entier, oû l’on crée, se rencontre, se parle, s’étonne, se promène, oû l’on envisage, fait le pas, oû l’on débat, retrouve le plaisir, celui de la découverte et de l’enthousiasme. Source: http://www.slick-paris.com
Slick, la foire de découvertes en art contemporain, a eu lieu du 23 au 26 octobre à Paris, lors de la Fiac, au CENTQUATRE, le nouvel établissement artistique de la Ville de Paris. On dit que Slick est le " Off " le plus " In " de Paris. Pour sa quatrième édition, Slick grandit ! Slick se déploie sur 4000 m2, pour le confort de 61 galeries françaises et internationales (58 en 2008), des artistes et des visiteurs. L’événementiel investit la halle et les salles de projection pour une scène vouée aux arts vivants et aux pratiques immatérielles. En 2009, Slick met les petits plats dans les grands, en ouvrant ses portes, à l’art culinaire : pièce gourmande monumentale, Slick Dessert et d’autres surprises. Slick donne la parole aux galeristes avec son magazine Slicker. Slick s’affirme comme le tremplin artisique audacieux, comme la scène émergente ouverte à toutes les disciplines artistiques du monde entier, oû l’on crée, se rencontre, se parle, s’étonne, se promène, oû l’on envisage, fait le pas, oû l’on débat, retrouve le plaisir, celui de la découverte et de l’enthousiasme. Source: http://www.slick-paris.com
Slick, la foire de découvertes en art contemporain, a eu lieu du 23 au 26 octobre à Paris, lors de la Fiac, au CENTQUATRE, le nouvel établissement artistique de la Ville de Paris. On dit que Slick est le " Off " le plus " In " de Paris. Pour sa quatrième édition, Slick grandit ! Slick se déploie sur 4000 m2, pour le confort de 61 galeries françaises et internationales (58 en 2008), des artistes et des visiteurs. L’événementiel investit la halle et les salles de projection pour une scène vouée aux arts vivants et aux pratiques immatérielles. En 2009, Slick met les petits plats dans les grands, en ouvrant ses portes, à l’art culinaire : pièce gourmande monumentale, Slick Dessert et d’autres surprises. Slick donne la parole aux galeristes avec son magazine Slicker. Slick s’affirme comme le tremplin artisique audacieux, comme la scène émergente ouverte à toutes les disciplines artistiques du monde entier, oû l’on crée, se rencontre, se parle, s’étonne, se promène, oû l’on envisage, fait le pas, oû l’on débat, retrouve le plaisir, celui de la découverte et de l’enthousiasme. Source: http://www.slick-paris.com
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Slick, la foire de découvertes en art contemporain, a eu lieu du 23 au 26 octobre à Paris, lors de la Fiac, au CENTQUATRE, le nouvel établissement artistique de la Ville de Paris. On dit que Slick est le " Off " le plus " In " de Paris. Pour sa quatrième édition, Slick grandit ! Slick se déploie sur 4000 m2, pour le confort de 61 galeries françaises et internationales (58 en 2008), des artistes et des visiteurs. L’événementiel investit la halle et les salles de projection pour une scène vouée aux arts vivants et aux pratiques immatérielles. En 2009, Slick met les petits plats dans les grands, en ouvrant ses portes, à l’art culinaire : pièce gourmande monumentale, Slick Dessert et d’autres surprises. Slick donne la parole aux galeristes avec son magazine Slicker. Slick s’affirme comme le tremplin artisique audacieux, comme la scène émergente ouverte à toutes les disciplines artistiques du monde entier, oû l’on crée, se rencontre, se parle, s’étonne, se promène, oû l’on envisage, fait le pas, oû l’on débat, retrouve le plaisir, celui de la découverte et de l’enthousiasme. Source: http://www.slick-paris.com
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